Garcia Oliver au Kiosk
13
janv.
2015
Lundi 19 janvier à 20h
Au Kiosk, 3 rue Escoussières Arnaud-Bernard
Présentation du livre de Juan Garcia Oliver « L'écho des pas »
éditions du Coquelicot.
Voici un homme qui en l'espace de quelques années aura été garçon de
café, anarcho-syndicaliste, homme d'action de la CNT (c'est à dire
chargé de la contre-offensive contre les tueurs du patronat de
Barcelone), imitateur de l'acteur américain James Cagney, le gangster
d'Holywoood, membre des groupes affinitaires « Los solidarios » et «
Nosotros » avec entre autres, Durruti et Ascaso, initiateur de
plusieurs insurrections libertaires en 1933 et 1934, artisan de la
révolution du 18 juillet 1936, ministre de la justice du gouvernement
républicain, directeur de l'académie militaire.
Survivant à la Guerre Civile, surnommé l'anarchiste bolchévique,
Garcia Oliver (1901- 1980) qui avait fait trembler bien des membres
de la CNT, sera marginalisé, oublié, purgé par le mouvement
anarchiste après la guerre.
Ses mémoires d'une subjectivité (certains diront mauvaise foi)
assumée, publiées en 1978, constituent un témoignage unique, sur la
révolution espagnole.
Fidèle à son idée de nous faire revivre quelques personnages atypique
de l'anarchisme espagnol (Federico Ponzan, Cipriano Mera) les
éditions du Coquelicot viennent de publier la première traduction en
français de cette somme.
Ils seront là pour revenir sur ce personnage controversé.
Présentation du livre de Juan Garcia Oliver « L'écho des pas »
éditions du Coquelicot.
Voici un homme qui en l'espace de quelques années aura été garçon de
café, anarcho-syndicaliste, homme d'action de la CNT (c'est à dire
chargé de la contre-offensive contre les tueurs du patronat de
Barcelone), imitateur de l'acteur américain James Cagney, le gangster
d'Holywoood, membre des groupes affinitaires « Los solidarios » et «
Nosotros » avec entre autres, Durruti et Ascaso, initiateur de
plusieurs insurrections libertaires en 1933 et 1934, artisan de la
révolution du 18 juillet 1936, ministre de la justice du gouvernement
républicain, directeur de l'académie militaire.
Survivant à la Guerre Civile, surnommé l'anarchiste bolchévique,
Garcia Oliver (1901- 1980) qui avait fait trembler bien des membres
de la CNT, sera marginalisé, oublié, purgé par le mouvement
anarchiste après la guerre.
Ses mémoires d'une subjectivité (certains diront mauvaise foi)
assumée, publiées en 1978, constituent un témoignage unique, sur la
révolution espagnole.
Fidèle à son idée de nous faire revivre quelques personnages atypique
de l'anarchisme espagnol (Federico Ponzan, Cipriano Mera) les
éditions du Coquelicot viennent de publier la première traduction en
français de cette somme.
Ils seront là pour revenir sur ce personnage controversé.